Le procédé de l’échographie fonctionne par émission d’ultrasons qui transmet l’information à un instrument de mesure afin de constituer la première image de soi. C’est donc la reconnaissance de l’existence de l’individu par autrui.

Je m’attache ici à montrer d’une part que l’on est identifiable au regard de l’autre et d’une autre part qu’il existent des procédés pour révéler une identité sociale et personnelle cela dès la naissance.

De plus, cette première identification visuelle agit comme un effet miroir pour la personne qui la regarde.

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Ainsi, quand l’on regarde une échographie, on prend conscience d’une part d’un lien universel de la présence d’une humanité, mais également de sa propre individualité par différenciation avec cet autre.

 

En effet, l'identification sociale et personnelle sont intriquées, elles influent l’une sur l’autre nous rendant à la fois semblable et unique à la fois. Enfin, le corps est ce qu’il y a de plus intime et de plus universel à la fois, et c’est son ambivalence que je refoule en étant moi, c’est-à-dire autre chose que lui. je préfère dire alors que j’ai un corps, ce qui sous-entend que le je s’affirme en tant que support de propriétés.